La littérature montre que l’extrait contient des glycoprotéines et des composés connus en cosmétique (allantoïne, acides de fruit en faible teneur comme le glycolique, glycosaminoglycanes…), généralement associés à des effets d’hydratation et de confort de peau. Des travaux ont mesuré allantoïne + acide glycolique dans des extraits et crèmes finies ; d’autres revues récentes synthétisent ces composants et l’intérêt cosmétique potentiel.
Côté efficacité clinique, on dispose de quelques études contrôlées (sur anti-âge/texture), positives mais encore limitées en taille : signal intéressant, à confirmer par des essais plus larges.
Dans un savon saponifié à froid enrichi en extrait d’escargot, l’intérêt est surtout la sensoriellité (mousse douce, peau qui tire moins), le respect du film hydrolipidique et une impression de peau plus souple après la douche. On rince, donc on ne cherche pas un “effet traitement” : le savon prépare la peau, la laisse confortable et prête à recevoir le soin
Le baume exploite mieux l’extrait car il reste en place : on vise hydratation, souplesse et confort, avec une application ciblée (joues, ailes du nez, zones sèches, mains). C’est là que les bénéfices perçus sont les plus nets, ce que reflètent aussi les études disponibles sur des soins “leave-on”.
Le soir, sous la douche, utilisez le Savon à la bave d’escargot sur visage et corps, rincez puis séchez sans frotter. Sur peau encore légèrement humide, appliquez le Baume à la bave d’escargot par pression-lissage (une toute petite quantité suffit). En journée, ré-appliquez localement si besoin.
